C ‘est devenu courant sous le régime de Félix Tshisekedi de voir des hautes autorités du pays arrêtées avec folklore pour des faits préalablement graves mais acquittées par la suite.
Les cas sont légions en commençant par Vital kamerhe, ancien Directeur de cabinet du chef de l’État Félix Tshisekedi , Éténi Longondo ancien ministre de la santé, Vidye Tshimanga ancien conseiller stratégique du chef de l’État et Wylli bakonga pour ne citer que ceux là. Le dernier cas en date est celui de l’ancien conseiller privé du président de la République Fortunat Biselela acquitté depuis mardi 22 Août dernier par le tribunal de grande instance de la Gombe .
Accusé pour de faits Graves à savoir : trahison et atteinte à la sûreté de l’Etat , l’ancien conseiller privé du président de la République est lavé de fond à comble, une décision qui relance le débat sur les arrestations des collaborateurs du chef qui ne croupissent pas dans le shéol des prisons .
D’ou la question de savoir comment peut on accusé une haute personnalité du pays d’atteinte à la sûreté de l’Etat et l’acquitter totalement ? Est- ce que ces sont les enquêtes préliminaires qui sont menées avec complaisence ou c » est une mains noire qui autorise ces libérations en continue ?
Après plus de six mois d’ incarceration, celui que les intimes appelle Bifort Bénéficiera d ‘une liberté provisoire le 21 juillet pour raison de santé a en croire ses proches avant d’être lavé de tout soupçon. Pour plus d ‘un congolais, la décision de la liberté provisoire était annonciatrice d’un acquitement en téléchargement comme cela est de coutume au pays . Mais avant , Bifort avait passé plus de deux semaines dans les locaux de l’ANR pour un prétendu rapprochement avec le Rwanda.
Si cet acquitement est réellement fonction de l’ ‘insuffisance de preuve, l’opinion attend voir Fortunat Biselela dont la nudité a été demistifiée retourner les cannaux contre ses accusateurs non seulement pour exiger réparation par rapport à la souillure mais surtout pour fausse accusation.c ‘est seulement dans ce contexte que l’opinion trouvera son acquitement verdict, si non le bruit d’une mains noire ayant exigé sa libération resterai de mise .
La rédaction.
