La tension reste vive dans la localité de Kimpese, territoire de Songololo dans le Kongo central où l’on ne cesse de compter des morts après les échauffourées du lundi 29 et mardi 30 janvier dernier.

Enfermée dans leur maison depuis lundi pour raison d’insécurité, une frange de la population délie la langue pour dire tout haut ce qui se chuchote tout bas.
Il n’est plus certe un secret que l’insécurité est le principal élement déclencheur de cette tension qui a emporté des vies humaines et causé de blessés graves sans compter les dégâts matériels.

Mais le mécontentement de certains autochtones après la publication des résultats des élections provinciaux n’est pas à exclure a en croire certains manifestants rencontrés sur la nationale numéro 1 le mardi 30 Janvier à hauteur de kimpese , localité à problème.
Certains notables, partie prenante au processus électoral n’ont pas digéré l’élection des ressortissants d’autres province dans le Kongo central et cela de manière frauduleuse.
Loin de s’afficher, ces notables qui soutiennent une partie des manifestants n’ont pas hésité de le pousser à l’extrême au point de cibler certains hommes en uniformes non originaire du kongo central.
Ces incidents malheureux de kimpese causés par Plusieurs mobiles parmis lesquels l’insécurité et le mécontentement poste électorale de certains fils et filles du coin ont également occasionné la perturbation de circulation sur la nationale numéro 1 avec toutes les conséquences qui vont avec.

Si pour certain le couvre-feu décrété depuis mardi 30 janvier reste l’issu de cette tension, pour d’autre il ne va pas dissuader les mécontents du cycle électoral.
Vu la tension dans laquelle est plongée cette localité du territoire de SONGOLOLO, plus d’un observateurs prophétisent déjà sur la prolongation de cette mesure exceptionnelle.
A.M