Alors que le processus électoral avance au pas du géant le suspens monte également.
A plus au moins 4 mois de la date de l’organisation du 4ème cycle électoral, les analyses vont dans tous les sens.
Si pour certains observateurs avertis le chef de l’état qui est sur la voie de gagner le pari du respect de la constitution en organisant les élections dans le délai, d « autres par contre disent le contraire.
Après l’enroulement et la publication provisoire des listes des regroupements et Partis politiques ayant atteint le seuil, place à l’enregistrement des candidatures des députés provinciaux et conseillers municipaux. De vu, tout semble évoluer bien que certains membres du bureau de la CENI parlent de l’insuffisance de moyen financier capable d’assurer avec succès la suite du processus électoral jusqu’au bout.
Ces sources confirment qu’il sera difficile à la CENI voire impossible après cartographie des bureaux de cheminer les kits dans les coins et recoins du pays dans le délai dans ce grand et vaste pays à la taille d’un continent.
De cet avis, certains voient un autre scénario en téléchargement à savoir l’organisation d’une transition de 2 ans avec Félix TSHISEKEDI à la tête.
A ce titre, un accord se négocie déjà entre Félix TSHISEKEDI et son prédécesseur. A la question de savoir pourquoi une transition ? Certaines figures de la sphère politique pensent que la transition permettra d’aplanir les divergences et méfiance entre compétiteurs au lieu de plonger le pays dans un chao poste électoral.
Qui sont les acteurs de cette fameuse transition de deux ans ? Des sources sûres citent la diplomatie africaine en complicité avec les chefs religieux catholiques et protestants.
Mais tout doit passer par un dialogue de plus au moins 4 semaines qui réuniront deux cents cinquante participants venus de la société civile, de la diaspora, de l’opposition et du pouvoir en place
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