Impayés, les agents de l’État prêts à tout
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Photos d’illustrations

C ‘est devenu une habitude que les agents et fonctionnaires de l’état ne perçoivent plus leurs salaires au mois auquel il se rapporte fait voir un syndicaliste du secteur de la santé.

Contre toute attente, les agents et fonctionnaires de l’état pour la plus part des cas n’ont pas encore perçu leurs dû du mois de septembre ce , en dépit des assurances du comité de suivi de la paie .
Si cette triste réalité qui perturbe l’équilibre des familles des agents et fonctionnaires de l’état est justifiée au début de chaque trimestre par des raisons évidentes liées au traitement des listings des paies, cela paraît étrange et inadmissible en plein trimestre .
Jusqu’ à ce jour, une majorité du personnel de l’état reste impayée pour des raisons non illucidées.Pire encore, aucune structure étatique communique à propos.
Au delà des menaces de grève à l’instar des administratifs et autres personnels de santé déjà en grève et ceux en téléchargement pour réclamer l’amélioration de leurs conditions Socio- professionnelles, d’autres syndicats envisagent déjà des actions pour dénoncer le non respect de la durée de la paie de la part de l’état congolais .
C’est pour la énième fois que pareil retard intervient au cours de l’année 2023.
Si le mois de septembre n’est pas payé à temps, qu’adviendrait- il au premier mois du dernier trimestre de l’année en cours, avec la promesse de majoration des salaires et primes des agents et fonctionnaires de l’état se demande un syndicaliste du secteur de la santé, pessimiste quant à cette promesse du ministre d’État en charge de la Fonction Publique.
Des sources proches du gouvernement confirment l’alignement de 18 ministères seulement sur une cinquantaine existant. Aux sources de poursuivre , mêmes les Ministères alignés au premier mois de la majoration ne l’ont pas obtenu sans rétrocession. Certains membres du cabinet du ministre du budget exigent une rétrocession au préalable pour être aligné. Certains vont plus loin en demandant les revenus des collaborateurs subalternes.
Affaire à suivre


La rédaction

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