Ce n’est plus un secret.
La société Proton, membre du groupe RAWJI constitué des nombreuses têtes d’icebergs ne travaille pas pour l’émergence du Grand Congo que le chef de l’État réélu FÉLIX TSHISEKEDI se veut grand et prospère.
Avec un directeur des ressources humaines binational, cette société nouvellement installée à Kinshasa et Lubumbashi fonctionne en RDC comme dans une zone conquise et sans loi.
Sous la supervision de Monsieur MWENZE Darling, son directeur des ressources humaines, cette société de droit congolais oblige les agents sous sa gestion à accepter de travailler comme sous traitant de MWENZE Darling peu importe les conséquences administratives et professionnelles qui en résultent.
Et depuis des mois, les agents engagés hier par Proton S.A sont alignés sans leurs consentement comme les sous traitants d’une pseudo entreprise créée par Monsieur MWENZE Darling, envisagent de saisir les instances de l’Inspection du travail.
En maître du jeu, le DRH MWENZE Darling de cette usine spécialisée dans la fabrication et distribution d’appareils électroménagers, électriques et électroniques n’hésite pas à mettre à la porte le personnel sans respect total de la loi du pays, comme pour dire le pays n’ est pas géré. Jusque quand la société Proton S.A continuera de maltraiter son personnel au vu et au su des autorités du pays?, se demande un agent de sécurité, travaillant sans arrêt dans un service comparable à une prison à ciel ouvert surtout pendant cette saison pluvieuse.
Je n ‘ai jamais vu un agent terminer dignement sa carrière dans cette société à plusieurs têtes! a lancé un autre employé sans compter les propos vexatoires au quotidien.
Ces indo- pakistanais trouvent toujours les moyens de se débarrasser de ceux qui ont atteint plus de 4 ou 5 ans de service avec le concours du DRH, le maître de la machine à broyer.
Il faut passer à la 17 ème rue industriel pour se rendre compte des conditions inhumaines de travail des congolais, pourtant dans leur propre pays.
Connaissant la faiblesse de l’appareil judiciaire du pays, Proton S.A est toujours prête à corrompre pour obtenir le licenciement abusif devenu monnaie courante, cela en passant par des accusations fantaisistes et non prouvées au lieu d’assurer à ses agents des fins de carrière honorable comme l’exige à ces jours le Chef de l’état initiateur de la réforme de l’Administration Publique.
Affaire à suivre
La rédaction