Que font les autorités congolaises face aux employeurs qui refusent de se conformer à la législation du travail en vigueur au pays ? La question vaut son pesant d’or au regard de la triste réalité que vivent les travailleurs SOGEDOS, SOGEREX et Sogetram, trois entreprises d’un groupe d’ expatriés créées depuis 2016.
Au lieu de contribuer à la promotion de la jeunesse et à son encadrement conformément à son cahier de charge, ce groupe d’ expatriés installés au quartier Makutano dans la commune de Lubumbashi dans la ville portant le même nom s’est vite transformé en colonisateurs des jeunes lushois défiant ainsi les autorités de la province.
Foulant aux pieds la vision du chef de l’état Félix Tshisekedi qui fait du peuple d’abord son cheval de bataille, SOGEDOS, SOGEREX et SOGETRAM qui n’ ont plus payé leurs employés depuis 42 mois sans justification ont décidé de fermer leurs bureaux sans respecter la procédure en la matière.
Depuis janvier de l’ année en cours, ce groupe de maltraitance des congolais a renvoyé plus de 250 travailleurs comme des déchets hors usage.
Pas de décompte final encore moins le paiement des 42 mois d’ arriérés de salaire dans un pays dit Etat des droits.
Les regards de ces pères des familles restent tournés vers les autorités du pays tant au niveau Provincial que National pour qu’une solution appropriée et conforme à la législation du travail congolaise soit trouvée.
Le s.o.s des employés de la SOGEDOS, SOGEREX ET SOGETRAM est donc lancé.
Affaire à suivre
Ce vraiment la tristesse pour cette situation comme un pays La RCD que cette pratique des choses passe sans faute