C’est depuis exactement un mois que les kinois expérimentent différemment l’évolution de la circulation alternée.
Alors que les acteurs à la base de cette nouvelle expérience routière continuent à tord ou à raison l’observation. C’est le grincement des dents du côté des usagers de la route parmi lesquels les passagers, les chauffeurs et les agents de l’ordre chargés de la régularisation routière. Au lieu d’atténuer les embouteillages, de réduire le temps de la course , la circulation alternée est venue empirer la situation dans la plus part des cas confirment certains chauffeurs et élèves. Si des bouchons Monstres étaient rare sur 24 novembre entre 06h30 et 09h00 , cela est devenu permanent sur cette route qui amène en ville voire pire.
Selon certains chauffeurs interrogés par votre journal, depuis l’instauration de ce système, rare sont les taximen qui font 5 tours entre lemba terminus et sonas pourtant avant l’expérience du VPM en charge des transports ils pouvaient atteindre 7 courses . Du côté des passagers, c’est la révision à la hausse du budget alloué aux transports journaliers et l’augmentation de la durée du trafic . La situation est perceptible sur le boulevard du 30 juin dans trois ou quatre endroits différents à savoir, l’entrée de l’entrée Wangata , l’entrée regideso, rond point Mandela et Socimat suite à la fermeture de l’entrée sabena . Le deuxième problème de cette initiative malheureuse de l’avis des kinois , c’est l’absence de la sensibilisation en amont, du coup il y a suffisamment risque d’accident tant du côté des piétons, les motocyclistes que des chauffeurs. Sur le terrain les trajets sont saucissonés à trois voire quatre contrairement à l’expérience d’avant . Sur les tronçons où l’expérience semble réussie, il y a Nguma et Macampagne dans un seul sens alors que ceux descendent de la ville n’ont pas assez des manœuvres car sans routes secondaires .