Après le mémorandum déposé à la présidence de République la semaine dernière pour dénoncer la mégestion du président de l’Assemblée nationale, les assistants parlementaires ne décolèrent pas.
Si pour le Directeur de cabinet de l’homme au cheveux noir artificiel, ces assistants parlementaires sont manipulés, ces derniers ont réaffirmé leur caractère globalisant , sans tendance politique.
A travers une deuxième lettre adressée au chef de l’État, les assistants parlementaires de la législature finissante accusent une fois de plus MBOSO KODIA president de leur chambre de continuer avec des abus.
Pour preuve, ce membre du présidium de l’union sacrée a procédé de manière sélective à la nomination des personnels politique de son cabinet il y a deux semaines avec effet immédiat sans reprendre les assistants parlementaires.
Dans cette deuxième correspondance déposée à la présidence de la République où ils portent à la connaissance du président de la République les preuves de la gestion catastrophique de MBOSO KODIA, les mécontents rappellent également au directeur de cabinet du président de la chambre basse du parlement le principe de la continuité de l’État qui oblige le bureau en fonction de gérer tant les actifs que les passifs.
Et à eux de poursuivre , comment le directeur de cabinet peut avec regret ignorer les assistants parlementaires régulièrement payés par Rawbank ? Preuve que Mboso et son bureau sont déterminés à fouler au pieds les règlements d’ordre intérieur de la chambre basse du parlement.
Revenant sur l’intervention médiatique du directeur de cabinet, les assistants parlementaires sont clairs, le mémo a été adressé au chef de l’État réélu FÉLIX TSHISEKEDI et non à quelqu’un d’autre pour interprétation ou autre usage. Il est temps que le chef de l’État fasse attention à celui qui se bat bec et ongles pour revenir au perchoir de la chambre des élus nationaux où, il n’a pas bien vendu l’image du premier citoyen.
Affaire à suivre
La rédaction