RDC / KINSHASA : RESPONSABLES DES INONDATIONS SPECTACULAIRE ET RÉCURRENTES, LES AUTORITÉS CONGOLAISES DOIVENT QUITTER LES ZONES NON HABITABLES QU’ILS OCCUPENT CONTRE LA LOI
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Les faits sont graves, inadmissibles et dangeureux au point d’exposer non seulement la population déjà meurtris par la misère mais toute une natation. De l’avis des experts, la situation dans laquelle est plongée la ville de Kinshasa aujourd’hui en dépit de la mauvaise gestion de l’actuel Gouverneur de la ville, choix de l’UDPS, trouve ses origines dans le non – respect de la loi depuis quelques années de la part des autorités pourtant censées tout réguler.

Dans cette situation où Kinshasa ressemble à tout sauf à une ville urbanisée et gérée, la responsabilité des trois ministères sont mise en jeux. Il d’abord le ministère des affaires foncières, celui de l’urbanisme et de l’administration du territoire. Ces trois Ministres laissent la situation poirrire au vue de tous. Sans plan d’urbanisation adéquates, le gouvernement octrois sans respect de la loi de titre de propriété pour l’occupation des zones non appropriées. Loin de d’attaquer le nœud du problème, le vrais alors, les ministres responsables de la dégradation progressive de la situation en complicité avec les gestionnaires de la villes et certains proches du pouvoir se mettent à curer les caniveaux au quotidien comme si c’était la solution pourtant ce sont eux les vrais problèmes. Pour mieux coordonner leurs coups, ces ministres prédateurs commencent par  donner des titres de propriété aux biens publics et privés de l’État avant de les hypothéqués sans froid au dos. C’est le cas de l’école Agricole du Quartier Mombele dans la commune de Limete par le ministre de tutelle qui prétend chercher des partenaires, le terrain de la RVA à kinkole avec la ministre des affaires foncières et DAIPN, la vente d’une partie du camp kokolo et la pépinière de Bandalungwa où est érigé la cité OASIS . Faute d’un plan d’urbanisation cohérent, les cannaux de canalisations sont devenus plus petits par rapport à la qualité d’eau, sans respect des normes urbanistiques 80% des parcelles sont occupés de bâtisse au lieu des 40% , augmentant ainsi le volume des eaux déversées sur les voies publiques.

Ces autorités ont signés la vente des zones de protection de la ville et son les premiers acheteurs. Comme c’est le cas de la baie de ngaliema où la démolition pause problème, le cimetière de kasa vubu, la cité du fleuve et le quartier Ngwele à kingabua. Des zones Maraicageuses servant de lieu d’absorber les eaux sont lotis au profit de ce même dirigeants. L’espace réservé au Renatelsat occupé au point de rendre suffit le fonctionnement de cette structure stratégique de l’État. Face à ce tableau sombre que nous allons décortiqué progressivement avec des données scientifiques, des preuves de la me gestion et autres, la démolition reste l’ultime solution. Oui démolir GG marte construit dans un espace non indiqué, démolir les résidences occupant l’espace Renatelsat, la cité OISIS, le cercle épique… la liste ne pas exhaustives.
Nous y reviendrons
A. M

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