Lancée le mardi 11 novembre dernier par le gouverneur militaire du Nord-Kivu, l’opération de rachat d’armes de guerre a été suspendue huit jours plus tard par le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, Jacquemin Shabani.
Selon un télégramme signé par le patron de la territoriale, cette initiative risque d’aggraver la situation sécuritaire et de porter atteinte à l’image exemplaire du pays auprès des Nations unies.

L’opération visait à réduire la prolifération des armes légères et à renforcer la sécurité, proposait 100 USD pour une AK-47, 200 USD pour une arme d’appui, et 1 USD par munition.

Il faudra désormais attendre l’issue de la réunion de cadrage avant toute éventuelle reprise de cette activité.
A.M


