Un nouveau siège au conseil des droits de l’homme, la RDC a été élue, hier mercredi 09 octobre 203?24 comme esclave d’une liberté lui accordée par l’institution internationale organisant la question fondamentale de la liberté individuelle des droits de l’homme. Alors que le débat traverse les salons politiques, toutes tendances confondues du pays sur la nécessité et l’importance de retrouver à nouveau ledit siège du conseil de droit de l’homme attribué à la RDC, les politiks ailleurs du pays trouvent dans cette mouvance, chacun en ce qui le concerne, ses raisons pour encourager ou disqualifier le pays de LUMUMBA sur cette élection.
Paupol djamani nzangama, Secrétaire Général du parti politique UDDC, quant à lui, d’une part, félicite cette élection pour 2025 à 2027 et d’autre part pense que comme en 2017, les pays membres d’une certaine communauté internationale, ont trouvé une nouvelle manière d’affaiblir notre pays en certaines périodes particulières.
Aujourd’hui, que l’état d’esprit de la population est rivé vers la question de la révision ou changement de la constitution, ladite communauté internationale a placé la RDC face à ses responsabilités, lorsque les opposants de ce pays devront organiser des manifestations politiques.
Il vous souviendra qu’en 2017, après le massacre de la population du Kasaï, les opposants avaient organisé des démarches particulières pour que la RDC ne puisse être élue comme membre dudit conseil. 2024, après les évènements malheureux de la prison centrale de makala, les opposants se sont encore organisés pour les mêmes faits.
Cette élection, aussi bien qu’une manœuvre internationale, conduira la RDC à revoir ses prétentions… La Rédaction