REELECTION DE FELIX TSHISEKEDI : LE CHEF COUTUMIER WELO KULU DIA YONA DE MATADI SOUTIEN UN MANDAT FRUCTUEUX
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Il est l’un des rares chefs terrien du Kongo central en général et de la ville portuaire de Matadi à souhaiter un succès mandat au président de la République réélu à la majorité écrasante sur l’ensemble du territoire national.


Lui, c’est le chef coutumier de la ville de Matadi, chef lieu de la province historique du Kongo central, Welo kulu Dia Yoma Foko.


Au lendemain du prestation de serment de Félix Tshisekedi, le chef terrien de la ville portuaire présente en son nom personnel et de sa population des félicitions à celui qui a bénéficié de la confiance et de l’estime du Congo central avec 94 % de suffrage exprimé à l’issu des élections du 20 décembre dernier.


Détenteur du pouvoir coutumier de la grande ville de Matadi, le chef lieu de la province du Kongo central Welo Kulu exprime également sa gratitude au premier citoyen congolais Félix Tshisekedi pour l’élévation de Jacques Mbuku, digne fils de la province à la tête de la jeunesse de l’Union africaine, un choix judicieux.
Soucieux de la réussite sans contrainte du deuxième quinquennat du président réélu, le chef terrien de Matadi plaide pour la prise en compte des certaines revendications des autochtones.


C’est dans cette optique que l’oeil de la ville stratégique de Matadi formule quelques recommandations au fils du Sphinx de limete, aux membres du futur gouvernement sans oublier les mandataires des entreprises publiques et privées installées dans sa province.


Au nom de la communauté Bamboma, le chef terrien dit attendre voir la représentation de cette communauté du Kongo central dans les institutions tant au niveau provincial que national, demande valable pour les entreprises étatiques.


La communauté Bamboma monte au créneau pour exiger des éclaircissements sur la vente illégale de quelques terrains où étaient érigés le port de l’ onatra sur le site Ango Ango et Pemanco.


Détenteur du pouvoir coutumier, la bouche autorisée de la communauté Bamboma exige en dernier lieu, la représentation de son pouvoir au sein de l’organe délibérant du Kongo central.


La rédaction

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